nourrir les oiseaux de votre jardin
Nos conseils pour nourrir les oiseaux de votre jardin
Comment et quand les alimenter ?
Par définition, les oiseaux du jardin sont des oiseaux sauvages qui doivent rechercher eux-mêmes leur nourriture pour subvenir à leurs besoins. Ces petits oiseaux sont capable d’avaler jusqu’à la moitié de leur poids par jour.
Pourtant, vous vous êtes déjà peut-être demandé s’il était nécessaire que vous leur mettiez de la nourriture à disposition. Cela peut être conseillé à certaines périodes. L’hiver notamment, où les besoins énergétiques sont plus importants. Les espèces qui ne migrent pas sont confrontées à la baisse des températures et ont donc une dépense énergétique plus importante.
A cela s’ajoute le fait que depuis de nombreuses années, il y a une raréfaction des haies, au sein desquelles se trouve l’alimentation des oiseaux du jardin. Cela entraîne donc une diminution de leur alimentation. Certains départements comme le Gers, tentent de contrer ce phénomène avec des politiques paysagères de reconstitution de haies. En attendant de ressentir les effets de ces politiques cette raréfaction peut être comblée par un apport alimentaire d’origine humaine.
Disposez de la nourriture sur des mangeoires et veillez à ce qu’elle ne devienne pas trop molle ou trop sèche. Le plus important c’est que ces oiseaux disposent d’un apport alimentaire supplémentaire sans pour autant qu’ils se reposent exclusivement là-dessus. Le risque dans ce cas-là c’est que les oiseaux ne recherchent plus la nourriture par eux-mêmes. Si vous partez en vacances et qu’il n’y a personne pour les nourrir, ils seraient désorientés et ne sauraient plus se nourrir de manière autonome.
Parole de vétérinaire
“La majorité des espèces d’oiseaux du jardin sont granivores, certaines sont insectivores. Par contre, les oiseaux s’adaptent très facilement et consomment ce qu’ils ont à disposition même si cela ne correspond pas à leur régime alimentaire traditionnel. Donc, si vous leur donnez des graines alors qu’ils préfèrent les insectes, ils les mangeront quand même, à partir du moment où cela les nourrit. Les oiseaux du jardin apprécient également la nourriture riche en huile qui est très nutritive. Vous pouvez par exemple, leur mettre à disposition des boules de graisse de tournesol qu’ils apprécient particulièrement. Veillez simplement à ce que la graisse ne rancisse pas car cela peut provoquer des intoxications.
N’oubliez pas non plus de leur installer un petit bassin d’eau car il est compliqué pour les oiseaux du jardin de s’en procurer, surtout en ville. Ce bassin peut également leur permettre de se baigner, ce qui les amuse. Veillez à ce que ce bassin soit suffisamment haut pour le protéger du chat, qui représente le danger principal pour les oiseaux du jardin.”
Le mode de vie des oiseaux de cage
Le mode de vie des oiseaux de cage
Comment les choisir ?
Les races des oiseaux de cage sont si nombreuses qu’il existe, entre toutes ces races, une grande diversité comportementale. Certaines espèces d’oiseaux sont bien plus évoluées que d’autres, à tel point qu’il existe entre elles autant de différences qu’il y en a entre un lapin et un chien. Au fil des années, certaines ont même réussi à développer une forme d’intelligence leur permettant de communiquer avec les Hommes.
La prise en compte de l’évolution de ces oiseaux est essentielle lorsque l’on souhaite en adopter. Il existe pour cela quelques recommandations qui peuvent vous aider. Première chose à savoir : les oiseaux de cage sont faits pour vivre en couple ou en groupe. Un oiseau de cage qui vit seul peut très vite ressentir un mal-être et le manifestera sous diverses formes. Il peut, par exemple, refuser de s’alimenter ou encore s’arracher les plumes. S’il s’agit de votre première adoption privilégiez donc des espèces dites classiques qui s’élèvent plus facilement. Parmi ces exemples, commencez par des canaris ou des perruches. Cela vous permettra surtout d’observer le fonctionnement des oiseaux de cage. En effet, certains oiseaux comme le perroquet coûtent chers car ils sont dit « sophistiqués » et très intelligents. Concrètement, ces oiseaux sont compliqués à élever car certaines situations peuvent amener à l’apparition de troubles. Par exemple, un perroquet qui vit seul peut très rapidement déprimer et se faire du mal. Le perroquet est un animal qui développe des relations très complexes avec ses congénères mais aussi avec les Hommes. Ces relations ont une incidence majeure sur le comportement et le bien-être de ce type d’oiseaux. Sachez également que ces espèces vivent très longtemps, jusqu’à plus de 40 ans pour certaines. Privilégiez-donc des oiseaux plus faciles à élever, qui confirmeront ou non votre choix d’adopter des races plus complexes.
Comment les alimenter ?
Le régime alimentaire des oiseaux de cage varie beaucoup d’une espèce à l’autre, certaines sont granivores, d’autres frugivores et d’autres insectivores.
Rassurez-vous, il est peu probable que vous ayez à acheter des insectes à vos oiseaux car la majorité sont granivores. Les perroquets et les perruches, par exemple, sont à la fois granivores et frugivores. Concernant leur régime alimentaire, il n’existe pas d’alimentation commune à toutes les espèces. En effet, chaque espèce a des besoins bien spécifiques. C’est pour cela qu’il existe des mélanges conçus pour les perruches, d’autres pour les perroquets… Au début, privilégiez donc des mélanges déjà préparés avant de préparer vous-même leurs rations. Ce dont il faut surtout avoir conscience c’est que le régime alimentaire des oiseaux est conditionné par le milieu dans lequel ils évoluent. C’est-à-dire que si un oiseau vit en cage il consommera ce qu’il est possible de manger, donc des graines. A l’état sauvage, par contre, comme ils peuvent consommer des insectes et des fruits, leur régime alimentaire repose sur ce type de denrées. Renseignez-vous donc bien sur les habitudes alimentaires de vos oiseaux. Dernière recommandation : il est essentiel que vous enrichissiez leur cage avec des perchoirs, des mangeoires, des abreuvoirs ou tout objet qui peut rendre son environnement agréable et sympathique.
Le coq dans le poulailler
Le coq dans le poulailler
Le coq au milieu de ces dames
Chez les oiseaux de basse-cour, mâle ou femelle, tout le monde est logé à la même enseigne. D’autant plus, qu’à leur naissance les poussins ont le même aspect. L’apparition d’une distinction n’arrive qu’à la maturité sexuelle. Le coq se pare alors de tous ses attributs : crête bien rouge, barbillons, plumes aux couleurs chatoyantes. C’est également à ce moment-là qu’il développe son chant et devient agressif. Une fois que le coq a gagné sa place, en poussant notamment son immuable chant matinal, il devient chef du poulailler. Le coq joue bien sûr un rôle primordial si vous souhaitez que vos poules aient des poussins. La compagnie d’un coq apporte aussi autorité et protection au sein du poulailler. Cependant si vous trouvez son chant un peu trop encombrant, sachez que vous pouvez vous en passer. Présence de poules ne signifie pas forcément présence de coqs !
Parole de vétérinaire
“Voici quelques recommandations à suivre si vous souhaitez adopter un coq. Avant toute chose, renseignez-vous sur les différentes races. Comme pour beaucoup d’animaux, la race détermine le caractère. Par mesure de précaution, il est préférable d’adopter un coq de la race de vos poules. Mais alors, combien de poules pour un coq ? Selon les races, il faut en moyenne entre 6 à 10 femelles pour un mâle. Un nombre minimum de poules est requis sinon il les poursuit et risque de les fatiguer. Pour éviter cette situation, assurez-vous d’avoir un poulailler assez grand afin que chacun ait son espace. Si à ce stade de la lecture vous êtes toujours décidé à adopter un coq alors ne négligez pas le conseil qui suit. Il est fortement conseillé de ne pas introduire plusieurs coqs dans le poulailler. Peut-être par question d’orgueil, la présence de plusieurs coqs peut entraîner l’apparition de bagarres. Pour la bonne santé de ces messieurs donc et pour la tranquillité de ces dames, n’en adoptez qu’un et observez son intégration au milieu de ses congénères.”
Les habitudes alimentaires du coq : un véritable gentleman
Une fois adulte, l’appétit du coq diminue, à tel point que son comportement change quelque peu. Celui qui, étant plus jeune, empêchait les femelles d’accéder aux mangeoires se transforme en un gentleman qui s’assure que ces dernières mangent suffisamment. Il va même jusqu’à vérifier que les poules dominées accèdent aux mangeoires. Par ce comportement, le coq rappelle à chacun qu’il est le chef de la basse-cour et le protecteur de ces dames. Pour autant, il faut que votre poulailler dispose de suffisamment de mangeoires pour que chacun mange à sa faim.
Concrètement, que donner à manger aux coqs ? Sachez d’abord, que tout comme les poules, les coqs ont des besoins spécifiques à certaines périodes : lors de leur mue ou en hiver, quand les températures chutent. Le coq régule lui-même sa consommation alimentaire journalière. La seule chose dont vous aurez donc à vous préoccuper lors du nourrissage c’est que chacun mange à sa faim et se développe normalement.
Parole de vétérinaire
“A la différence des poules, les besoins du coq nécessitent moins de rigueur. Cela s’explique du fait que ses besoins alimentaires correspondent à une activité quotidienne moins intense. Effectivement, la poule doit avoir un régime alimentaire qui lui permette d’assurer une ponte quotidienne. Le coq, quant à lui, ne se dépense que lorsqu’il course et coche ces demoiselles lors de la reproduction, ce qui ne nécessite pas des besoins spécifiques.”
Le lapin, l’animal facile à vivre !
Le lapin, l’animal facile à vivre !
Pourquoi adopter un lapin ?
Le lapin est si facile à vivre que son adoption ne comporte quasiment que des avantages.
Premier avantage: le calme. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le lapin ne glapit pas. Pas de crainte donc d’être réveillé en pleine nuit par ses cris. Autre avantage en matière d’hygiène et non des moindres : le lapin n’a pas besoin d’être promené ! Vous l’ignoriez peut-être mais le lapin mange certaines de ses crottes, ce qui est tout à fait normal. C’est ce qui s’appelle la cæcotrophie et qui correspond à une seconde digestion. Ce comportement est essentiel car c’est lors de cette phase digestive qu’il assimile tous les nutriments qu’il a ingéré auparavant. Il a toutefois besoin d’une litière dans sa cage pour la maintenir propre. Gasco a d’ailleurs développé une litière à base de rafle de maïs, totalement compostable. Sa litière peut être utilisée comme engrais pour nourrir la terre. Grâce à ce compost vous obtenez de beaux fruits et légumes avec des épluchures dont raffole le lapin. C’est l’occasion d’installer un cercle vertueux et écologique grâce à votre compagnon aux longues oreilles.
Parole de vétérinaire
“Certaines races de lapin se laissent facilement domestiquer. Quand c’est le cas, il est possible de les porter, de les caresser comme vous le feriez avec un chien. D’eux-mêmes, ces lapins prennent leurs aises dans votre maison, ils s’installent dans le canapé et dans les endroits qui leur procurent sérénité et bien-être. Vous l’aurez donc bien compris, par nature, le lapin apprécie couler des jours paisibles.”
Maison ou jardin, fermier ou nain, où vit le lapin ?
Quelle que soit sa race un lapin reste un lapin ! Mais, ce qui vaut pour une race ne vaut pas forcément pour une autre.
Certaines races de lapins peuvent vivre en extérieur et d’autres en intérieur. Les lapins dits fermiers résistent au froid et peuvent vivre en extérieur. Grâce à leur fourrure bien fournie et épaisse, il peuvent faire face à des températures très froides. Ils résistent d’ailleurs mieux au froid qu’à la chaleur, à laquelle ils sont sensibles. L’été, en revanche, vous pouvez les rentrer afin qu’ils profitent de la fraîcheur de votre domicile. Les races naines quant à elles ne résistent pas au froid et doivent vivre à l’intérieur dans une cage. Sachez tout de même que le lapin émet toutes sortes de bruits intempestifs : ronge les barreaux, court dans sa cage… Pour ne pas perturber votre sommeil, ne placez donc pas la cage dans votre chambre. C’est pour cela qu’il est essentiel de lui apprendre à vivre en cage dès le début. Autrement, une fois en liberté, il rongera tout ce qu’il a à sa disposition (câbles, boîtes…).
Parole de vétérinaire
“L’aménagement du lieu de vie de votre lapin doit tenir compte de ses caractéristiques physiques.
Le lapin dit fermier peut vivre dans un enclos extérieur. Dans certaines habitations de campagne, il reste encore des clapiers, utilisables et fonctionnels. Si vous n’en avez pas, vous pouvez lui installer une petite cabane en bois. Il faut qu’elle soit suffisamment grande pour lui permettre de se déplacer et de se protéger des intempéries. Pour ce qui est de l’orientation, choisissez l’emplacement qui le protégera des courants d’air. L’hiver, si les températures chutent beaucoup, vous pouvez disposer un drap épais sur le clapier pour l’isoler un peu plus du froid. Pour ce qui concerne les races naines, tenez compte du fait que votre lapin grandira. Dans la cage, installez-lui une petite cabane sous laquelle il puisse se cacher, un récipient pour sa nourriture et une source d’eau. Quelle que soit la race de votre lapin, assurez-vous de lui avoir déposé suffisamment de paille. La paille apporte de la chaleur et est adaptée à ses besoins hygiéniques.”
Le lapin, un grand gourmand mais fragile !
Le lapin a un équilibre digestif fragile et proche de celui du cheval. Cette notion d’ « équilibre » est essentielle lorsque vous le nourrissez.
Malgré cela, le lapin est un animal plutôt gourmand et son goût des bonnes choses peut lui être préjudiciable avec parfois des risques de surpoids et de troubles digestifs.
Pour son alimentation, vous avez le choix. Vous pouvez lui donner des aliments complets ou bien des mélanges comprenant des céréales : avoine, orge et blé principalement. Donnez-lui également du foin, car il a besoin de fibres pour bien digérer. De plus, le fait de mastiquer l’occupera et évitera qu’il ne s’ennuie. Vous pouvez également ajouter vos épluchures de fruits et légumes. Pour nourrir votre lapin, le plus important c’est de respecter chaque jour un équilibre entre les granulés et les fibres. Tout est une question d’habitude et de constance chez le lapin. Il faut éviter de changer son régime alimentaire quotidien et ses rations. Le principe de base à respecter est donc celui de la régularité dans les apports. Autre conseil : ne lui laissez pas la nourriture à disposition toute la journée mais nourrissez-le matin et soir. Sinon, sa gourmandise le perdra. En termes de quantités, il est conseillé de donner 20 à 40 grammes de granulés par kilogramme, que vous agrémentez d’un peu de foin. Pour un lapin nain, il faut donc entre 20 et 50 grammes par jour alors que pour les races les plus imposantes, entre 100 et 300 grammes.
Parole de vétérinaire
“Ne négligez pas le besoin en eau du lapin. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le lapin consomme beaucoup d’eau. Pour les races d’intérieur, la consommation en eau doit être permanente. Prévoyez donc un système d’abreuvoir leur permettant de s’hydrater à tout moment de la journée. Pour les races d’extérieur, la consommation en eau est régulée par rapport aux sources d’hydratation qu’ils retrouvent dans la nature. Les quelques brins de verdure consommés leur apporteront une source d’hydratation supplémentaire. Attention, ce n’est pas parce que la verdure ou les épluchures de fruits et légumes constituent une source d’hydratation supplémentaire qu’il faut leur en donner « à tout va ». Ces aliments, s’ils peuvent être intégrés à leur régime alimentaire doivent l’être en commençant par de petites quantités chaque jour. Une fois de plus, la régularité est de mise en respectant leur équilibre alimentaire quotidien. Si vous en donnez un jour et non le suivant votre lapin pourra développer des troubles digestifs et ce, même si les quantités sont minimes. En conclusion, il faut être très vigilant et rigoureux pour ce qui concerne l’alimentation du lapin.”
Tout savoir sur les besoins du poussin
Tout savoir sur les besoins du poussin
Le cycle de croissance du poussin
Au sein du poulailler, le poussin parvient rapidement à trouver sa place. Ses caractéristiques comportementales et physiques lui permettent de s’épanouir rapidement dans ce monde de « grands ».
Pour ce petit être tout se passe avant l’éclosion de l’œuf. C’est dans sa coquille qu’il doit faire ses preuves. Il lui faut exactement 21 jours pour se développer dans l’œuf. La poule couveuse est alors importante car elle apporte la chaleur et l’humidité dont a besoin le poussin. Petite anecdote : si vous tendez l’oreille au 18e jour vous pourrez déjà l’entendre crier. Puis, trois jours plus tard, il pointe enfin le bout de son bec! Il lui faut environ entre 30 minutes et 4 heures d’efforts pour sortir. Que se passe-t-il une fois qu’il s’est extrait de sa coquille ? Il quitte le nid, tout simplement, et se lance dans le grand bain de la vie.
Parole de vétérinaire
“Le fait que le poussin quitte le nid dès sa naissance peut surprendre. Pourtant, cela s’explique simplement. Le poussin fait partie des espèces dites nidifuges. Cela signifie que le poussin entame et achève sa croissance dans l’œuf. Une fois qu’il sort il est donc mature pour vivre sa vie en toute autonomie. Cela lui permet surtout d’être propre rapidement et de se nourrir sans l’aide de personne. Il faut ensuite laisser le temps au temps pour faire de ce poussin à duvet un bel oiseau à plumes.”
Petite taille mais grand appétit
Derrière ces petits êtres attendrissants se cachent de véritables ogres dont il faut respecter minutieusement les besoins nutritionnels.
Les premières semaines sont cruciales et nécessitent une vigilance particulière. C’est à ce moment-là que le poussin termine son développement. Sur le plan alimentaire, il faut que vos poussins bénéficient de toutes les protéines dont ils ont besoin. Ce sont les protéines qui permettent aux organes, aux muscles et au plumage de se développer. Vous pouvez trouver des mélanges déjà préparés qui contiennent tous les nutriments nécessaires. Grâce à la gamme Cot&Co, élaborée par Gasco, vous pouvez offrir à vos poussins une alimentation complète sous forme de miettes. Autre solution : vous pouvez réaliser votre propre mélange avec du pain trempé, des œufs durs ou encore de la verdure. Au bout de trois à quatre semaines, vous pouvez agrémenter votre mélange de céréales : blé, maïs, son, orge ou encore avoine. Un dernier petit détail qui a toute son importance : veillez à ce que les mangeoires soient bien placées et adaptées à leur taille de façon à ce que les poussins y accèdent facilement.
Parole de vétérinaire
“La cohabitation entre les poussins mâles et femelles peut vite s’avérer compliquée sur le plan alimentaire. Les poussins mâles ont un tel appétit qu’ils empêchent parfois les femelles d’accéder aux mangeoires. Après le nourrissage, n’hésitez donc pas à rester quelques instants afin de vous assurer que tout le monde se nourrit convenablement. Un tel comportement peut nuire au bon développement des femelles d’où l’importance d’être particulièrement vigilant à cette période de leur vie. Il vous faudra néanmoins attendre plusieurs semaines avant de pouvoir distinguer les poussins mâles des femelles. Pour les souches rustiques, le dysmorphisme sexuel n’apparaît que tardivement, entre 8 et 12 semaines. A ce moment-là veillez-donc bien à ce que tous les poussins aient accès aux mangeoires, quel que soit leur sexe. ”
Comment prendre soin des poules ?
Comment prendre soin des poules ?
La poule, la meilleure amie de l’Homme ?
5 conseils pour bien prendre soin des poules. Vous saurez tout de leur caractère et des astuces pour favoriser leur bien-être : comportement, picorage, piquage, perchoir, épouillage, santé.
La relation entre l’être humain et la poule fait partie de ces surprises. Elle tient même une place importante dans le quotidien de votre animal. Bien qu’il soit possible qu’une relation se noue, il faut savoir que la poule n’est pas, par nature, un animal que l’on câline. Malgré cela, il est quand même possible de développer de l’affection pour cet animal. Particulièrement les enfants, qui s’y attachent vite, surtout lorsqu’ils les nourrissent. Ces instants de partage sont primordiaux et il est donc important d’en profiter à plusieurs. Ils sont bénéfiques à tout le monde car ils permettent de profiter d’un moment en famille et de développer le goût de la ruralité. Surtout, ces moments confrontent vos enfants au fonctionnement animal et à ses règles. C’est donc principalement lors du nourrissage que la poule s’habituera à votre présence et vous identifiera ensuite.
Parole de vétérinaire
“La poule est un animal qui fonctionne selon le principe du réflexe conditionné. Chez elle, c’est l’attribution de nourriture qui détermine son comportement. Progressivement, elle sera donc en mesure d’associer votre présence à une action puis elle parviendra à vous reconnaître.”
Le picorage, source de bien-être
Pour tout animal, les aspects comportementaux sont essentiels dans la prise en compte de leur bien-être.
Sur ce sujet-là, la poule a une place à part tant son bien-être repose sur des faits inattendus. En effet, certains de ses comportements naturels sont associés à sa nécessité de bien-être physique et psychologique. Mais, qu’est-ce qui peut bien faire autant de bien à la poule ? Le picorage, voyez-vous ! Certes, il s’agit d’un comportement que nous jugeons naturel et inné mais il est surtout source de plénitude. Il traduit chez la poule une véritable recherche de bien-être. C’est dans cet esprit et toujours soucieuse du confort de ces animaux que Gasco a développé des compléments répondant à cette nécessité de picorage. Parmi les produits élaborés, les coquilles d’huîtres ou les blocs de sel sont particulièrement appréciés par ces compagnons à deux pattes.
Parole de vétérinaire
“Attention, il est important de bien distinguer picorage et picage ! Le picorage, c’est lorsque la poule attrape des éléments avec son bec. Le picage, par contre, c’est lorsqu’elle pique ses camarades. Le picage peut s’expliquer selon trois raisons. Il peut traduire la volonté d’exterminer les parasites présents dans les plumes de leurs congénères. Il peut être une manifestation d’un équilibre alimentaire défaillant. Enfin, il peut s’expliquer par la volonté des poules d’affirmer leur rang hiérarchique au sein du poulailler. Si tel est le cas, il faut être vigilant car les conséquences peuvent être graves. En effet, cela peut générer la victimisation d’une poule sur laquelle toutes les poules s’acharneraient pouvant amener jusqu’à la mort.”
Une poule sur un mur…
Tout comme pour l’Homme, certaines positions soulagent la poule et lui procurent du bien-être.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce confort se matérialise notamment par la recherche d’équilibre. La présence d’objets de surélévation dans les poulaillers n’est donc pas due au hasard et a une explication rationnelle. Le simple fait d’être sur un perchoir lui procure une sensation de sécurité et de quiétude. En effet, une fois en hauteur elle peut facilement se protéger d’éventuels prédateurs. Petite anecdote si vous l’ignoriez : la poule est capable de dormir sur un perchoir sans perdre l’équilibre. Si vous l’apercevez dans une telle situation ne la déplacez surtout pas car vous l’exposeriez davantage au danger. Mais au-delà de cet aspect sécuritaire, cette position lui est confortable et lui procure un sentiment de détente. Rassurez-vous donc, il ne s’agit pas d’un stratagème pour s’enfuir mais de petits moments de détente bien mérités.
L’épouillage ou la définition du bonheur !
L’épouillage est un comportement naturel, garant de bien-être et sérénité.
Oui mais plus précisément, l’épouillage, qu’est-ce que c’est ? Tout simplement, c’est lorsque la poule se secoue. Pour cela, elle a besoin d’un endroit où la terre est plus fine, elle y fait un trou et s’y secoue les ailes. Si vous n’avez pas de jardin lui permettant de creuser, vous pouvez lui proposer un bac rempli de sable, de terre fine ou de talc. Au début, variez le contenant de votre bac régulièrement afin de voir lequel elle affectionne le plus. L’épouillage est pratique car il permet à l’animal de se débarrasser de tous les petits parasites nichés dans ses plumes. Mais cet aspect sanitaire ne peut expliquer à lui seul cette pratique. En effet, les poules s’amusent dans la terre car elles apprécient le contact avec ce genre de matière. N’hésitez-donc pas à lui aménager un petit coin de paradis où le plaisir a tous ses droits.
Comment être vigilant à la santé de ma poule ?
Un jour, peut-être, vous vous apercevrez que votre poule connaît une petite baisse de régime.
Vous vous questionnerez donc sur la démarche à suivre. Avant toute chose, il n’est pas question de s’alarmer inutilement. Les raisons d’un coup de mou sont très souvent liées à l’environnement et se résolvent dès la modification de celui-ci. Pour autant, il peut arriver que ces malaises créent de légers troubles du comportement. Mais il ne faut pas les voir comme un danger. Bien au contraire, puisqu’ils alertent sur l’état de santé de votre poule. Un comportement anormal se matérialiserait par un refus de s’alimenter, de s’hydrater, un isolement, une agressivité envers ses congénères ou une maltraitance envers elle-même… Mais attention et afin d’éviter toute conclusion hâtive, observez son comportement sur le long terme. Certes, il faut être vigilant mais uniquement lorsqu’un trouble devient récurrent ! Seule la répétition peut être préjudiciable à sa santé. Une fois le problème identifié, soit vous le résolvez par vous-même, soit il vous faudra faire appel à un vétérinaire. Les changements de comportement peuvent être le fait d’une nourriture inadaptée, d’un manque d’espace ou d’une hygiène insuffisante. Pour ces cas précis, vous pouvez vous-même y apporter la solution. Si le problème est plus complexe, n’hésitez pas à contacter les personnes adéquates afin de vous faire aider. Une fois les problèmes résolus, restez vigilant au moindre détail pouvant devenir un facteur déclencheur. La vie paisible dans le poulailler reprendra ses droits et vous pourrez dormir sur vos deux oreilles.
Parole de vétérinaire
“De nature angoissée, le mode de vie de la poule dans le poulailler est régi selon des règles visant à diminuer tout état de stress. Pour autant, certaines individualités voire le groupe peuvent être soumis à des tensions. Ces états de troubles se matérialisent à travers leurs comportements. Les cris, tout d’abord, qui peuvent exprimer la joie, la crainte ou l’énervement. La posture, ensuite, qui s’adapte à la situation. Par exemple, la poule bombe son torse lorsqu’elle souhaite effrayer son adversaire. Le comportement animal, comme celui de l’Homme, est donc l’objet de multiples études. Dans le cas d’animaux sensibles comme l’est la poule il est alors nécessaire de s’assurer qu’un grain de sable n’enraye la machine et ne stresse vos compagnons. ”
Bien nourrir pigeons et pigeonneaux
Bien nourrir pigeons, pigeons voyageurs et pigeonneaux
Un régime alimentaire classique
Pas de difficultés en perspective pour nourrir vos pigeons puisqu’ils sont granivores. Leur alimentation est donc principalement constituée de graines.
Première solution : donnez-leur des mélanges déjà préparés. Avec Gasco vous avez le choix de la diversité avec des mélanges répondant à leurs besoins nutritifs et des mélanges plus gourmets.
Seconde solution : disposez un type de graine différent par mangeoire. Gasco vous propose à la fois du blé et du maïs. Cette alternative les incite à choisir leur nourriture et à réaliser leurs propres assemblages de graines. Cela les encourage à développer leurs goûts et à les associer à la notion de plaisir. Cela permet aussi de réduire le gaspillage alimentaire car le pigeon trie sa nourriture. Si vous lui donnez un mélange, il ne mangera que ce qu’il aime et n’aura aucun regret à laisser le reste.
Pour autant, sachez que le pigeon ne se contentera pas de ce que vous lui donnez. Il cherchera à diversifier son alimentation avec des insectes, vers de terre et même de la verdure.
Parole de vétérinaire
“Le type de nourriture est une chose mais la fréquence de nourrissage en est une autre. Une fois de plus, vous avez le choix. Dans un premier cas, vous pouvez disposer la nourriture le matin et vous la renouvelez quotidiennement. Avec ce fonctionnement vous accordez un peu de liberté à votre pigeon en le laissant s’alimenter quand il le souhaite. Dans un second cas, vous le nourrissez vous-même plusieurs fois par jour. Le nombre de repas varie en fonction de vos préférences. Traditionnellement, deux repas par jour suffisent. Pour vos pigeons, cela leur permet de mieux vous connaître. Pour vous, cela peut vous permettre d’en apprendre plus sur leur façon de s’alimenter et donc d’être vigilant si l’un d’eux présentait des troubles alimentaires.”
L’alimentation du pigeonneau
Dès la naissance du pigeonneau, les parents se chargent aussitôt de le nourrir.
Vous n’avez donc pas à intervenir mais vous devez simplement vérifier que le pigeonneau est correctement alimenté et qu’il se développe normalement. Pour être sûr qu’il se porte bien, il vous faut connaître quelques principes de base concernant son alimentation. Déjà, sachez que le pigeonneau, contrairement à ses parents, ne consomme pas de graines mais du lait de jabot, une substance sécrétée à la fois par le père et la mère. Pour le nourrir, les parents le régurgitent dans le pharynx du petit. Vous l’aurez donc compris, en termes de nourrissage, la responsabilité est partagée. Le lait de jabot est extrêmement nourrissant pour le pigeonneau, ce qui lui permet de grandir rapidement. Si vous estimez que le pigeonneau ne grandit pas assez rapidement n’hésitez pas à contacter un vétérinaire qui saura vous rassurer. Un tel fonctionnement chez les pigeons s’explique du fait que le pigeonneau est nidicole, ce qui signifie qu’il a besoin de plusieurs semaines avant de pouvoir se débrouiller seul. A sa naissance, il est pratiquement nu et très fragile. Il ne peut donc ni voler ni manger par lui-même. Au bout de trois à quatre semaines, il commence à avoir des plumes et à prendre sa propre autonomie.
L’alimentation du pigeon voyageur, mythe ou réalité ?
Bien des mystères entourent le pigeon voyageur et son mode de vie.
Autant vous prévenir tout de suite, ce conseil ne vous expliquera pas comment élever des pigeons voyageurs. Il peut en revanche vous aider à comprendre l’importance que tient l’alimentation dans son quotidien. Tout comme pour les Hommes, l’alimentation du pigeon voyageur occupe une place aussi importante que l’exercice physique. Sportif, il se dépense énormément et a des besoins énergétiques spécifiques. Il est même considéré comme un marathonien car il ne retrouve son colombier qu’après avoir parcouru de longues distances. Pour combler cette dépense énergétique, il lui faut une nourriture spécifique à base de blé (25%)*, maïs (25%)*, pois (23%)*, orge (16%)*, graines de tournesol (8%)* et enfin de colza (3%)*. Seule une alimentation de très bonne qualité lui permettra de conserver une condition physique suffisante et de se dépenser sans compter. Si vous souhaitez toujours élever des pigeons voyageurs comprenez donc qu’il vous faudra être rigoureux et attentif. Le pigeon voyageur fait exception au milieu de ses congénères.
* Ces proportions sont données à titre d’indication.
L’eau, entre nécessité et bien-être
Le pigeon fait partie des oiseaux qui consomment le plus d’eau. Comme vous, lorsque les températures augmentent, le pigeon doit avoir à sa disposition de l’eau fraîche, en grande quantité. Ce besoin en eau s’explique également grâce à un petit détail qui a toute son importance : pour le pigeon l’eau est une vraie source de plaisir. Prévoyez donc une petite baignoire où il pourra se baigner et se lustrer ainsi qu’un distributeur d’eau. Ne faites pas de son abreuvoir sa baignoire sinon l’eau risque d’être très sale et il ne doit surtout pas s’hydrater avec une eau sale. Pour ces raisons, Il est donc important de protéger et de renouveler l’eau de l’abreuvoir de votre pigeon et de la baignoire régulièrement afin qu’il ait une eau propre à sa disposition.
5 conseils pour bien nourrir ma poule
5 conseils pour bien nourrir ma poule
Faire le choix d'une nourriture variée et complète
Pour une poule en bonne santé tout est question d’équilibre alimentaire.
Mais alors, comment être sûr de bien nourrir ma poule ? Ne paniquez pas, nous avons toutes les réponses qu’il vous faut. La poule est un granivore, elle se nourrit de graines. Vous pouvez choisir de la nourriture complète sous forme de granulés ou alors des céréales, de blé, d’avoine ou de maïs, que vous enrichissez vous-même avec des compléments alimentaires. En faisant le choix des produits Gasco, vous offrez à votre poule de la nourriture de qualité adaptée à ses besoins et envies.
Et la nourriture biologique dans tout ça ? Si cette question vous tient à cœur, sachez que les aliments biologiques peuvent apporter un bénéfice à vos poules. Gasco a d’ailleurs développé toute une gamme avec un label 100% biologique. Que vous fassiez le choix du bio ou du conventionnel, soyez certains que Gasco sélectionne des grains de qualité et appropriés aux besoins de votre poule.
Parole de vétérinaire
“Contrairement aux idées reçues, la poule ne peut pas se contenter de terminer votre assiette. Certes, elle permet de réduire le gaspillage alimentaire mais elle ne doit pas être perçue comme une poubelle. Vos restes alimentaires ne constituent donc qu’un complément à une nourriture spécifique et équilibrée. Seule une alimentation élaborée selon ses besoins lui permettra de se maintenir en bonne santé, de s’adapter aux changements environnementaux et de pondre de bons œufs.”
Une alimentation d'origine animale
Tout comme l’Homme, la poule a besoin d’une nourriture diversifiée.
Vous vous demandez peut-être comment elle y parvient. Comme beaucoup d’animaux, la poule profite de ce que la nature lui offre. Elle recherche tous les petits êtres vivants qui prolifèrent dans la terre. C’est donc naturellement qu’elle creuse pour déterrer ses futures victimes. Perpétuellement en recherche, cela lui permet de compléter son alimentation par des sources d’origine animale. Elle déterre notamment les insectes et les vers de terre dont elle est très friande. La nature remplit alors bien son rôle car elle lui offre des sources énergétiques et nutritives complémentaires. Une telle diversification alimentaire est nécessaire voire même indispensable au maintien de votre poule en bonne santé.
Parole de vétérinaire
“Lorsque la poule recherche des insectes ou des vers de terre elle le fait pour son propre usage. Il serait facile de penser qu’elle en profite pour nourrir son poussin alors que ce n’est pas du tout le cas. Si elle ne le fait pas ce n’est pas par égoïsme mais parce que le développement du poussin ne le permet pas. En effet, le poussin est une espèce dite nidifuge, c’est-à-dire qu’une fois sorti de sa coquille il est autonome. Il peut donc se promener dans le poulailler mais surtout se nourrir seul, sans l’aide de sa mère.”
Quelle quantité de nourriture par jour ?
La poule ne doit pas dépasser un certain seuil de nourriture par jour. Certains kilos en trop pourraient vite être préjudiciables à sa bonne santé.
Ses besoins nutritionnels par jour sont de 120 à 130 grammes de nourriture. La façon dont vous les nourrissez peut dépendre de vos habitudes de vie. Si vous avez le temps, vous jetez les aliments à la volée. Cela l’incite à rechercher la nourriture dans son enclos et répond à son comportement naturel de picorage. Dans le cas où vous êtes pris par le temps, vous disposez la nourriture dans une mangeoire et elle s’y sert quand elle le souhaite. Cette solution est utile lors des départs en vacances. Ne vous inquiétez donc pas, vous n’aurez pas à faire une croix sur vos jours de repos ! Si la situation devait se présenter un jour, déposez la quantité nécessaire de nourriture dans une mangeoire. Automatiquement, votre poule saura réguler sa consommation en fonction de ses besoins. En revanche, lorsque vous vous absentez plusieurs jours, il est important que quelqu’un de votre entourage vérifie qu’elle dispose de suffisamment de nourriture et que tout se passe bien dans le poulailler.
Les changements de saison, facteur déterminant
Qu’il s’agisse des Hommes ou des animaux, l’arrivée d’une nouvelle saison a des impacts sur les organismes. Il est donc important d’être vigilant.
En hiver, l’apparition des températures froides demande une attention toute particulière. Cela nécessite quelques adaptations de votre part. Soyez rassuré, il n’est pas question d’aménager un poulailler dans une pièce de votre maison. Même lors de cette saison froide, la poule peut vivre en extérieur. Pour autant, la baisse des températures entraîne une dépense énergétique plus importante et peut la fragiliser. Pour combler ce manque énergétique, il faut, soit augmenter les quantités soit la nourrir plus souvent durant la journée. Mais à cela, il faut encore ajouter l’énergie mobilisée lors de la ponte. Il est donc facile de se rendre compte de l’importance que l’alimentation joue à cette période de l’année.
L’été, c’est sur l’eau qu’il vous faudra être vigilant. Le temps étant plus sec, il faut que la poule puisse à la fois s’hydrater et se rafraîchir. Veillez donc à mettre à sa disposition de l’eau de bonne qualité et en quantité suffisante.
L’eau justement, quelle importance ?
Pour les animaux aussi l’eau a une fonction vitale. La poule est un animal qui consomme beaucoup d’eau par jour. Pour qu’elle puisse bénéficier de tous ses bienfaits, il est nécessaire qu’elle ait accès à une eau de qualité. En plus de cela, il faut qu’elle puisse en disposer en quantité importante et librement. Surtout, veillez à changer régulièrement son eau afin qu’elle reste fraîche suffisamment longtemps.
Parole de vétérinaire
“Chez la poule, ce besoin important en eau s’explique aussi du fait de son régime alimentaire granivore. Les graines étant constituées de matières sèches qui peuvent altérer certains tissus ou organes intervenant dans le processus digestif. Instinctivement, la poule ressent cet effet asséchant et agit en conséquence en s’hydratant mieux. Et la seule façon de s’hydrater mieux est donc de consommer beaucoup plus d’eau. ”
Alimentation et hygiène du chien et du chat
Alimentation et hygiène du chien et du chat
BARF : retour à une alimentation originelle
Le chien est un animal carnivore qui doit consommer des protéines d’origine animale. Il a donc besoin de consommer régulièrement de la viande : viande rouge ou volaille.
Il existe plusieurs façons de nourrir son chien. Habituellement, il se nourrit de croquettes ou de pâtée. Mais aujourd’hui une nouvelle tendance se développe. C’est ce qui s’appelle le BARF, le but est de revenir à une alimentation originelle. Surtout, cette tendance a pour but de rejeter les aliments industriels. Concrètement, il s’agit de réaliser soi-même les rations de son animal à partir d’aliments crus : viande, abats, fruits et légumes. Contrairement à la viande, les légumes peuvent être cuits. Vous pouvez agrémentez ce mélange de pâtes Gasco, de riz ou de divers compléments alimentaires vitaminés. Si vous souhaitez expérimenter ce mode d’alimentation veillez à respecter certaines règles. Commencez par prendre conseil auprès d’un vétérinaire qui vous aidera à comprendre les besoins nutritionnels de votre animal. Vous pourrez aussi établir des repas types pour éviter les carences.
L’importance de l’eau ne doit pas être négligée notamment l’été. Le chien ne transpire pas, il a donc besoin de boire énormément pour lutter efficacement contre la chaleur. Si, en plus de cela il consomme des matières sèches comme les croquettes son besoin en eau ne fait qu’augmenter.
Le chat : le goût de la propreté
Le chat est un animal propre qui aime prendre soin de lui. Son mode de vie repose en grande partie sur son caractère soigné.
Concernant son hygiène, il est essentiel de respecter certaines règles. Avant toute chose, assurez-vous que sa litière soit dans un endroit où il n’y ait pas de passage. Tout comme nous, le chat a besoin d’intimité pour ne pas être perturbé. Il faut aussi que sa litière lui soit agréable car ce n’est qu’à cette condition qu’il y retournera. La rafle de maïs Gasco est particulièrement adaptée au chat : végétale, hypoallergénique et naturelle, elle prévient tous types de problèmes respiratoires.
Il est également important d’habituer votre chat à la litière dès son plus jeune âge afin qu’il s’approprie cet environnement. Évidemment, il faut changer régulièrement la litière car si elle trop souillée il n’ira plus.
En termes d’hygiène, le chat est un animal qui s’éduque facilement, la seule nécessité c’est que sa litière soit propre. En plus d’entretenir la litière il faut observer son comportement. Si vous le voyez souffrir pendant qu’il fait ses besoins n’hésitez pas à consulter un vétérinaire. Sachez que certaines situations peuvent entraîner l’apparition de douleurs. La castration, par exemple, peut favoriser l’apparition de calculs urinaires. Il existe pour cela des aliments spécifiques et allégés adaptés aux besoins de votre animal.